« Aucun café ne sera autorisé à être exporté sans transformation. Nous voulons ajouter de la valeur à nos produits locaux afin d’obtenir plus de revenus grâce à nos produits ».
Ces propos sont du Premier ministre tanzanien, Kassim Majaliwa. En effet, après le cajou en janvier 2018, c’est le café qui est visé par cette mesure d’interdiction dont l’objectif est de valoriser les matières premières agricoles locales par la transformation.
Le Tanzania Coffee Board (TCB) prévoit une production de 60 000 tonnes de café en 2018/2019, contre 41 679 tonnes en 2017/2018. Le TCB met actuellement en œuvre un programme visant à augmenter la production de café à 100 000 tonnes d’ici 2021.
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