Autosuffisance alimentaire : Amos Kienou chargé de coordonner la mise en œuvre de l’Offensive agro-pastorale et halieutique

Amos Kienou est officiellement le Secrétaire technique de l’Offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025. Il a été installé dans ses fonctions ce jeudi 26 octobre 2023 à Ouagadougou par le directeur de cabinet du Ministère de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques, Alassane Guiré.

Le dispositif de mise en œuvre du Plan opérationnel de l’Offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025 se met petit à petit en branle. Ainsi, au cours du Conseil des ministres de ce mercredi 25 octobre 2023, le Ministre de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques, Ismaël Sombié a nommé Amos Kienou, statisticien-Economiste, au poste de Secrétaire technique de l’Offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025. Il devrait ainsi avoir en charge la coordination de la mise ne œuvre de ce plan.

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Au cours d’une cérémonie tenue ce jeudi 26 octobre 2023, Amos Kienou a été officiellement installé dans ses fonctions par le directeur de cabinet, Alassane Guiré. Le nouveau secrétaire technique a traduit ses remerciements aux autorités pour la confiance placée en lui et a dit tout son engagement à travailler pour une mise en œuvre réussie de ce plan.

Pour sa part, Alassane Guiré a invité le Secrétaire technique a élaboré « dans les meilleurs délais » un planning opérationnel de mise en œuvre de l’Offensive. Il a invité le Secrétaire technique à travailler de façon concertée avec l’ensemble de ses collaborateurs pour réussir cette mission à lui confiée.

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L’Offensive agro-pastorale et halieutique 2023-2025 est un plan du gouvernement de la transition. Il a été élaboré dans le but d’offrir au Burkina Faso son autosuffisance alimentaire à l’horizon 2025. Et pour y arriver, huit (8) filières ont été élevées au rang de filières prioritaires du plan. Il s’agit du riz, du maïs, du poisson, de la volaille, de la filière bétail-viande, du blé, de la pomme de terre et de la mangue. D’un coût global de 592 milliards de franc cfa, ce plan devrait être financé par l’Etat burkinabè et les partenaires du secteur privé.

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